Notre
histoire
Artha est né d’un rêve : celui de faire rayonner l’essence de l’art contemporain sud-asiatique sur la scène artistique internationale, afin que sa beauté et sa richesse soient pleinement reconnues.
Notre mission
Artha, ou अर्थ en sanskrit, se traduit par raison d’être ou intention. Artha a pour mission de promouvoir et de révéler au monde l’identité artistique de l’Asie du Sud, avec un accent particulier sur l’immense sous-continent qu’est l’Inde.
Notre vision
À travers des expositions d'art, des critiques d'expositions et des publications artistiques, Artha poursuivra son engagement à accroître la visibilité de l'art sud-asiatique à l'échelle internationale, en particulier en Europe.
Grâce à des recherches continues et méticuleuses, nous avons pour objectif de retracer le parcours artistique de l'Inde après son indépendance en 1947.
Pourquoi ai-je crée Artha ?
Dites bonjour ! J'aimerais discuter avec vous.
Ma passion pour l'histoire et la culture remonte à mon enfance. À sept ans, je rêvais déjà de devenir archéologue, animé par une curiosité profonde : comprendre le passé pour mieux appréhender notre présent et notre avenir. Ayant grandi à Mumbai, je me suis souvent senti comme un étranger, toujours à poser des questions et à chercher des réponses parfois difficiles à trouver.
La première fois que j'ai véritablement découvert l'histoire de l'art indien, c'était lors de mes études de licence au Canada. Je me demandais constamment : pourquoi devrais-je aller à l'autre bout du monde pour y accéder ? Cette expérience transformatrice a éveillé en moi un désir profond : faire connaître et apprécier l'art et la culture indiens.
Ce voyage m'a conduit à Milan pour un master en marché de l'art, puis à Paris pour mon MBA. Ces expériences m'ont permis de constater un fait frappant : l'art asiatique, tel qu'il est présenté sur la scène mondiale, inclut rarement l'art sud-asiatique, et en particulier l'art indien. Par exemple, ce n'est qu'en 2023 qu'Asia Now, une foire d'art asiatique majeure à Paris, a accueilli pour la première fois une galerie indienne depuis sa création. Cette omission flagrante m'a profondément perturbé.
Je me suis alors demandé : « Que puis-je faire pour remédier à cela ? » La réponse était Artha.